Waly Dia dénonce la gestion de Radio France : une diatribe percutante
Ce dimanche 2 juin, l'humoriste Waly Dia a utilisé sa plateforme dans «Le Grand Dimanche Soir» pour exprimer ses frustrations face à la gestion de Radio France. Lors d'une chronique enflammée, il a fustigé la patronne de Radio France, Sibyle Veil, et a abordé la situation délicate de Guillaume Meurice.
Guillaume Meurice au cœur de la polémique
Dia n'a pas mâché ses mots en évoquant Guillaume Meurice, humoriste actuellement en attente d'une décision de la part de Radio France après une blague controversée sur Benjamin Netanyahou. "C'est l'humoriste dont on parle le plus en ce moment", a-t-il souligné, reprochant à la direction de Radio France de négliger une décision de justice pourtant en sa faveur.
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Des critiques acerbes contre Sibyle Veil
Waly Dia n'a pas hésité à s'attaquer à Sibyle Veil, en s'interrogeant sur ses liens avec le milieu politique. "Si les plaintes sont classées, pourquoi décide-t-elle de mépriser une décision de justice ?", a-t-il demandé. Il a également fait référence à son passé de conseillère de Nicolas Sarkozy, suscitant les rires du public par des analogies ironiques.
Avec humour, il a comparé les actions de Veil à celles de personnages caricaturaux : "Elle a appris la magie avec Dumbledore... Pour elle, un procureur ou un ramasseur de balles à Roland-Garros, c'est kif-kif."
Un appel à la résistance face à la direction
Dia est allé plus loin en évoquant l'interview de Benjamin Netanyahou sur LCI : "En France, c'est incroyable, tu es sous mandat d’arrêt pour crime de guerre, tu peux être invité dans un JT. Par contre, si tu fais une blague sur ce criminel de guerre, tu es interdit de radio!"
Il a conclu son intervention en affirmant sa détermination à ne pas se laisser réduire au silence, malgré les actions punitives de la direction : "Si vous voulez que j’arrête de jacter dans ce micro, il va falloir venir me l’enlever." Charline Vanhoenacker a ajouté avec ironie : "Ils connaissent le chemin pour enlever le micro."
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